Tu cherches une mission.
Tu espères un plan, une vocation, quelque chose qui donne un sens clair à ta présence.
Mais le vrai chemin ne se montre pas.
Il te traverse.
Ce n’est pas une carrière.
Ce n’est pas un destin figé.
C’est un retour. Un glissement intérieur.
C’est le moment où tu te rencontres enfin.
Il n’y a pas de route
Le chemin de vie n’a pas de structure définie.
Il ne suit aucun modèle.
Il ne répond à aucune injonction extérieure.
Il se manifeste par un ressenti simple, souvent discret.
Un élan. Une chaleur dans le ventre. Une impression d’espace.
Ce n’est pas logique.
Ce n’est pas rentable.
C’est juste… vivant.
Ce qui vibre est juste
Ce qui te met en joie sans raison.
Ce que tu fais sans forcer.
Ce qui revient, encore et encore, même si tu n’y crois plus.
Là où la société bride, ton chemin t’ouvre.
Il ne t’épuise pas : il t’allège.
Il ne t’exige rien : il t’accueille.
Tu peux tout te permettre ici.
Car rien n’est attendu de toi, sauf d’être vrai.
Pas besoin d’être exceptionnel
Pas de vocation admirable.
Pas de génie à révéler.
Juste une aisance, une fluidité, une sensation d’être à ta place.
Même si parfois ça te déstabilise.
Même si souvent tu doutes.
Même si personne ne te comprend.
Ce n’est pas à comprendre.
C’est à vivre.
Quelques indices
- ✧ Ce que tu fais naturellement, sans effort
- ✧ Ce qui t’appelle même quand tu veux l’éviter
- ✧ Ce qui te nourrit au lieu de te vider
- ✧ Ce qui te nourrit en te vidant
- ✧ Ce qui paraît absurde aux autres mais essentiel pour toi
- ✧ Ce qui ne demande aucune performance, juste ta présence
Tu y es déjà
Le chemin de vie n’est pas à chercher.
Il est là, à l’intérieur, depuis le début.
Il se révèle quand tu cesses de te forcer.
Quand tu écoutes ce qui te parle sans bruit.
Quand tu laisses l’espace entre deux pensées te traverser.
C’est toi, quand tu ne portes plus de masque.
C’est toi, quand tu respires à nouveau.