Ce qu’on t’a peut être dit
On t’a probablement appris que chaque pierre avait “sa place”.
Le quartz rose pour le cœur.
La sodalite pour la gorge.
L’améthyste pour le troisième œil.
Des correspondances alignées sur les couleurs, les chakras, les polarités.
C’est propre. C’est logique. C’est rassurant.
Mais ça ne marche pas toujours.
Ce que tu ressens
Et pourtant, il y a des jours où tu poses une tourmaline sur le ventre.
Ou une malachite sur le cœur, alors que tu la croyais “trop forte”.
Et ton corps dit : “oui”.
C’est là que la vraie pratique commence :
Quand tu oses écouter ce que tu ressens, au lieu de suivre ce qu’on t’a appris.
Les tableaux figent, le vivant déborde
Les correspondances ne sont pas à jeter.
Elles donnent des repères. Un premier cadre.
Mais elles peuvent aussi devenir une prison mentale si tu n’oses plus t’en écarter.
Le corps, lui, ne demande pas des couleurs. Il demande du soutien.
Et parfois, ce soutien vient d’une pierre inattendue, posée là où “il ne faut pas”.
Ce que je pratique
Je pratique la lithothérapie intuitive. Comme tout le reste, d’ailleurs.
Je n’ai pas de formation. Et c’est justement ce qui m’aide.
À casser les conventions. À briser les codes.
C’est un schéma que je répète dans toutes les sphères de ma vie.
Ma formation à moi ça a été le chamanisme.
L’écoute de l’esprit. L’écoute de l’essence subtile.
Ce genre de chemin qui t’ouvre à des possibles hors des sentiers battus.
Ce n’est pas doux, ni lisse.
C’est une initiation.
Une de celles qui te demandent la foi, les tripes, et de marcher quand même, même sans voir où tu vas.
Je teste. Je pose. Je sens.
Je ne médite pas assise en lotus.
Je ne fais pas de rituels fixes.
Je m’allonge, je respire, je laisse faire.
Et chaque matin, je découvre ce qui se réveille en moi avec telle ou telle pierre, placée là où ça me fait du bien.
Tu peux aussi le faire
Ce n’est pas dangereux.
Ce n’est pas irrespectueux.
Ce n’est pas “mal placé”.
C’est juste toi, à l’écoute.
Et c’est déjà beaucoup.
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